Les communes, des organisations et les paroisses proposent des activités aux jeunes : éducation physique et sport, activités de club, événements et camps. Les maisons de la jeunesse offrent des locaux où les jeunes peuvent se rencontrer dans leur proche environnement en sécurité, sous la surveillance et le guidage d’adultes. Le personnel de l’action pour la jeunesse circule souvent là où se trouvent les jeunes, par exemple en ville.

Il existe aussi sur Internet, où les jeunes passent beaucoup de temps, des services dans le cadre desquels ils peuvent parler en toute confidentialité ou obtenir des conseils. La police agit également en ligne et coopère avec le bureau d’aide sociale à la jeunesse pour empêcher que les jeunes soient entraînés dans des activités criminelles ou en soient victimes. L’obligation de coopération en vue de l’harmonisation et du développement des services pour les jeunes est stipulée aux divers opérateurs et organismes par la loi.

Dans le cas où il vient à un travailleur de l’action pour la jeunesse le sentiment que la croissance ou le développement de l’enfant est compromis, celui-ci doit prendre contact avec le service social de la commune de résidence de l’enfant conjointement avec l’enfant ou son parent. Si cette prise de contact ne réussit pas avec la famille ou s’il s’agit d’un besoin de protection de l’enfance urgent, le personnel est de toute façon dans l’obligation de faire un signalement à la protection de l’enfance.  Apprenez ce qui se passe à la suite d’une prise de contact ou d’un signalement à protection de l’enfance à la page du point Comment devenir client de l’assistance sociale